Petit Poucet moderne(1/2)

Publié le par Virginie Lefevre

Petit poucet moderne

(décembre 2007)

Dans le cadre d’une séquence sur le merveilleux où nous avons redécouvert les contes de notre enfance, et d’autres plus originaux… Lors d’un travail d’expression écrite, les élèves ont imaginé une version moderne du petit Poucet…

 

Le conte d’Arnaud

Le petit gros poucet et la peur des fessées.

 

Il était une fois, dans une banlieue de Saint-Ouen en l’an 10 000, un pavillon ou vivait une famille de riches. Il y avait dans cette maison sept enfants aussi gros que laids, dont un plus petit que les autres et on l’appelait le « petit gros poucet ».

Un jour ses parents tombèrent pauvres d’un coup et n’avaient rien à manger alors ils se disputèrent. Le petit gros poucet les écouta en transpirant à grosse gouttes, puis il courut voir ses frères et il leur parla chacun leur tour en les réveillant (car ils dormaient devant la télévision).

Il dit à voix basse : « Les gars, suivez-moi,… on fugue ».

Alors ils ne dirent rien et partirent.

L’hiver était rude mais grâce à leur graisse, les enfants n’eurent pas froid! Ils semèrent des bonbons de toutes les couleurs.

Et le méchant Jarjarbin (un humain à tête de lézard géant tiré du film « STAR WARS » qui est normalement gentil.) fit son apparition et suivit les traces de bonbons en les mangeant un par un ; à la fin il arriva au jardin des plantes et il vit les enfants. Il sauta sur le petit gros poucet mais celui-ci se baissa pour prendre une fleur. Jarjarbin se cogna sur le mur et mourut. Les enfants eurent peur et se dirent que la ville était trop dangereuse. Alors ils virent que la créature maléfique avait un G P S donc ils le prirent et retournèrent chez eux. Saviez-vous que les parents s’étaient inquiétés? Donc ils eurent une bonne fessée tous les sept et dormirent en se disant que fuir une fessée ou mourir : la fessée est mieux.

 

 

 

 

Le conte d’Alice

La véritable histoire du petit poucet

 

Il était une fois, une famille assez pauvre qui vivait au fin fond d’Honfleur en Normandie. Cette famille était composée de 7 enfants : Anouchka, Kylian, Damien, Virginie, Jean, Daniel, et Arthur. Arthur contrairement aux autres n’était pas très bavard. Il était très intelligent, petit et maigrichon ; il avait le visage doré comme de l’or, les cheveux bruns et luisants comme des étoiles, et les yeux aussi verts que l’herbe.

Il avait des parents fort gentils et affectueux. Mais un soir la pauvreté fut plus forte que jamais… Les parents étaient rentrés bredouille du supermarché, la boulangerie était fermée, le frigo vide, et ils n’avaient plus un sou pour payer le loyer. Une fois les enfants couchés, le père et la mère commencèrent à se demander comment tout cela allait finir…Avec un grand chagrin, les parents ne virent qu’une solution : demain matin à la première heure, ils emmèneront les enfants dans la boutique de sucreries la plus populaire du coin et dès qu’ils seront suffisamment occupés, ils quitteront le magasin en cachette.

Arthur, caché sous un tabouret, avait tout vu tout entendu. Sans intervenir, il attendit qu’ils aillent se coucher pour rentrer discrètement dans la chambre de ses sœurs. Il prit tous leurs bijoux à perles, et enleva une à une, les perles que contenaient les bracelets et les colliers…

Le lendemain comme prévu, les parents les emmenèrent tous à la boutique. Et aussi comme prévu, Arthur mit son plan a exécution qui était de semer les perles tout au long de leur chemin. Dès que les enfants eurent le dos tourné, les parents en profitèrent. S’apercevant de leur disparition, Arthur prévint ses frères et sœurs et ils suivirent tous les perles.

Les retrouvailles furent de courte durée. Les parents remirent leur sortie mais beaucoup plus loin cette fois pour qu’ils ne puissent jamais revenir. Et cette fois-là, Arthur n’était pas sous le tabouret.

Le lendemain, les parents les emmenèrent faire un tour en Bourgogne en voiture. Ils firent une pause déjeuner dans un petit village, et y abandonnèrent les enfants. Malheureusement, ils étaient bel et bien perdus.

Une jeune femme leur ouvrit et les firent entrer. Il leur expliqua leur mésaventure. Pâlotte et angoissée, elle leur expliqua que c’était une fée et que sa maîtresse la sorcière Carabasse habitait dans cette immense maison. A peine eut-elle terminée ses mots, que la porte s’ouvrit brusquement, la sorcière entra, et se rua sur les enfants. La fée se précipita sur la sorcière en la suppliant de les manger le lendemain matin. Contrariée, elle monta se coucher. Elle monta à son tour pour coucher les enfants. Une fois le calme revenu, elle les emmena dans une salle secrète où il y avait des tonnes et des tonnes d’argent !

D’un coup de baguette magique, tout l’argent disparut et apparut dans son carrosse magique. Ravie de ce joli tour, ils montèrent tous dans son carrosse, avec la fée.

Arrivés chez eux, les parents proposèrent à la servante qui s’appelait  Alice, de vivre avec eux. Elle accepta, et ils vécurent heureux et ne manquèrent de rien.

 

 

Le conte de Harry

Le petit Mickey

 

Il était une fois dans une ville ou vivait une famille de 7 garçons dont le plus petit s’appelait le petit Mickey et le plus vieux était l’aîné.

Les parent de ces 7 garçons n’avaient pas assez d’argent pour nourrir leurs 7 garçons alors les parents décidèrent d’abandonner leurs enfants dans une ville inconnue. Alors que les parents discutaient, le petit Mickey écoutait la conversation derrière la porte et il réfléchit à un plan.

Quand les parents furent au volant d’une décapotable, le petit Mickey lança des petits bouts de gomme tous les kilomètres-heures pour retrouver leur chemin. Ils arrivèrent enfin dans la ville perdue. Alors que les parents partaient de la ville perdue le petit Mickey n’avait rien à faire : il attendait sagement puis il eut un choc terrible : les oiseaux avaient mangé les bouts de gommes !

C’est la que ça devint critique : les 7 enfants n’avaient que 7 pains. Trois jours plus tard les 7 enfants mouraient de faim. Puis ils aperçurent un pavillon, ils coururent vers la maison et ils toquèrent : une sorcière ouvrit la porte et leur donna à manger. Le petit Mickey changea les 7 chapeaux avec ceux des filles de la sorcière et la nuit le sorcier coupa en morceaux les corps de ses filles.

Puis le petit mickey vola l’or du sorcier et rentra chez lui avec ses frères : tout ce qui commence bien finit bien

 

Le conte d’Antoine GT

Le Grand poucet

 Il était une fois un petit euh.....!Un grand garçon, pardon, très malin et sa famille composée de ses six frères et de ses parents. Ils étaient très pauvres et n'allaient pas à l'école. 

Une nuit le Grand poucet n'arrivait pas à dormir car il avait faim. Il ouvrit la fenêtre et sortit dans la rue. Il chercha dans les poubelles quelque chose à se mettre sous la dent. Il ne trouva qu'un simple briquet, et sans s’en rendre compte il arriva devant l'immeuble des amis de ses parents. Il surprit leur conversation : ils disaient que les parents du Grand poucet voulaient les abandonner.

 Le lendemain, alors que la famille se promenait, le frère aîné trouva des billets pour aller voir un match de football. Ils y allèrent. A la mi-temps leurs parents eurent comme prétexte d'aller aux toilettes pour s'enfuir et les enfants se retrouvèrent seuls et sortirent du stade désespérés. Mais heureusement, le Grand poucet avait eu l'idée de soulever les plaques d'égouts pour se retrouver dans les rues. Mais les éboueurs les avaient remises. Ils partirent donc à la recherche d'un endroit pour s'abriter. Ils trouvèrent une vieille bâtisse où ils  passèrent la moitié de la nuit car cette maison était infestée de rats qui parlaient et leur roi avait ordonné de les ligoter.

Mais, le briquet servit à quelque chose : il mit feu aux cordes et les enfants s’évadèrent. Ils se rendirent compte qu'ils avaient passé la nuit dans la maison juste à coté de la leur. Le

Grand poucet vit de l'argent et le prit. Ils rentrèrent chez eux et, grâce à l'argent, vécurent heureux au bord de la mer.

 

 

Le conte d’Elodie

Arnold le petit génie

Il y a un ou deux ans, dans un village, vivait une famille pauvre qui avait sept enfants, dont deux paires de jumelles, une paire de jumeaux, et un tout petit garçon.

Le petit était surnommé « le petit Poucet », car il n’était pas plus grand qu’un pouce. Son prénom était en fait Arnold. Il avait sept ans. Les deux filles les plus âgées, Alicia et Fanny, avaient douze ans. Les autres jumelles, Julie et Anne, avaient dix ans. Les garçons avaient, eux, huit ans, et s’appelaient Thomas et Bertrand. Leurs parents se prénommaient Victor et Mireille. Ils habitaient tous dans une maison entourée d’un petit jardin.

Les parents n’ayant plus de quoi se nourrir, décidèrent un soir d’en parler entre eux pour essayer de trouver une solution. Leurs enfants qui étaient dans la chambre voisine, étaient en train de dormir. Mais Arnold se réveilla parce qu’il entendit la voix un peu forte de son père. Il se leva donc, sortit doucement de la chambre pour écouter secrètement la conversation. Arnold n’avait pas entendu toute la discussion, mais avait compris que ses parents voulaient le lâcher, avec tous ses frères et sœurs, à Paris, la grande ville qui était à cinq kilomètres de sa maison. Il sortit donc pour ramasser de petites bûches qui étaient dans le jardin, qu’il allait semer en marchant. Il retourna ensuite au lit sans faire de bruit, et s’endormit à nouveau.

Le lendemain matin, comme il était prévu, les parents emmenèrent leurs enfants en plein milieu de Paris. Arnold, qui avait bien pensé à emporter les bûches ramassées la veille, les sema sur le trajet. Mais, il tomba à court de bûches sur le chemin. Les parents et les enfants poursuivirent leur route jusqu’à un collège s’appelant Saint-Michel des Batignolles. Pendant que les enfants étaient occupés à lire une affiche, les parents s’éloignèrent. Les enfants commencèrent à avoir peur, mais le petit Arnold les rassura à moitié en leur expliquant qu’il avait semé des bûches depuis la maison, mais qu’il n’en avait pas pris assez, donc il fallait retrouver l’endroit où il avait laissé sa dernière bûche, et ensuite ils allaient pouvoir rentrer sans problème. Ils essayèrent donc de retrouver cet endroit, mais se rendirent très vite compte qu’ils étaient plutôt perdus. Ils s’arrêtèrent devant une maison et sonnèrent à la porte. Une femme leur ouvrit. Ils lui expliquèrent ce qui s’était passé. Elle eut pitié d’eux et leur proposa de leur faire passer la nuit chez elle, mais leur dit que son mari n’aimait pas les enfants, et qu’il allait sans doute les tuer s’il les voyait. Ils se cachèrent alors dans la chambre d’amis.

Pendant la nuit, l’homme se réveilla car il avait entendu des ronflements venant de la chambre d’amis. Il décida de tuer le lendemain matin ceux qui l’avaient dérangé dans son sommeil. Mais les enfants se levèrent tôt le lendemain et partirent à six heures. L’homme se réveilla à six heures et demie, prit son couteau et se dirigea vers la chambre d’amis. Mais il fut surpris de trouver la chambre vide.   

Il fit l’analyse des marques laissées, prit son GPS et son tapis volant, posa les empreintes sur le GPS, conclut qu’il s’agissait d’enfants, puis partit à leur recherche. Pendant ce temps, les enfants étaient en train de courir, courir, sans savoir où ils allaient. Par hasard, ils retrouvèrent la trace des bûches. Ils suivirent les bûches, et trouvèrent un téléphone portable. L’homme abandonna sa recherche, car son tapis volant n’avançait plus. Il laissa le tapis à l’endroit où il était tombé en panne, et retourna chez lui en faisant du stop. Les enfants allumèrent le portable et découvrirent un message des restaurants Quick annonçant qu’ils avaient gagné cent mille euros et la maison de leur rêve. Comme il y avait justement un restaurant de ce nom en face, ils y entrèrent et, en échange du portable, reçurent les cadeaux indiqués. Ils trouvèrent le tapis volant un peu plus loin, montèrent dessus, et à leur grande surprise, celui-ci les conduisit directement devant la maison de leurs parents.

Les retrouvailles furent heureuses, les enfants expliquèrent toute cette incroyable histoire à leurs parents, et la famille qui était pauvre, devint riche.

 

 

 

Le conte d’Adrien

Des parents ignobles.

Il était une fois sept enfants : Adrien, Louis, Naïm, Antoine, Pierre, Steve et enfin le plus petit Paul que l’on surnommait le petit poucet. Ils vivaient dans une famille très pauvre. Le soir, ils ne posaient pas la question « qu’est-ce qu’on mange ? » c’était toujours pareil « soupe aux choux ». Cette mixture était infâme. Bref, revenons à nos héros.

C’était un soir, Paul se leva. Les six frères se demandèrent ce qu’il allait faire mais ne posèrent pas la question. Paul descendait pour écouter la conversation de ses parents. Il avait bien fait, les parents parlaient d’eux « nous les abandonnerons, demain, place Clichy ».

Le lendemain Paul avait tout préparé. C’était un véritable petit poucet « petit et malin ». Il avait pris tout ses legos et il les semait. Les parents, comme ils avaient décidé, les abandonnèrent Place Clichy.

Heureusement, Paul avait tout préparé, il dit à ses frères qui pleuraient : « Ne craignez rien, j’ai semé des legos ». Ils suivirent les legos et rentrèrent chez eux. Le lendemain, les parents firent de même, le petit Paul aussi mais cette fois, un garçon avait ramassé les logos. Comment allaient-ils rentrer chez eux ???

Ils décidèrent de dormir par terre pour la nuit. Ils s’endormirent tous, la faim dans l’estomac. Le lendemain, un sorcier apparut et les emmena dans son château. Cela s’était passé si vite ; il les mit dans son donjon et récita une formule magique pour fermer le verrou. Tous pleuraient mais encore une fois, Paul avait une idée. Il avait copié la formule magique sur sa main avec son bic quatre couleurs. Ils sortirent donc tous et allèrent fouiller dans le château. C’est Antoine qui trouva un chaudron. Dessus était inscrit en français « chaudron à or ». Puis en dessous, il était écrit une formule magique « abrocididoum dididadoum ». Ils eurent vite fait de trouver une bougie de Babylone. Ils l’allumèrent tout en pensant très fort à chez eux, ce qui leur permit de rentrer. Grâce au chaudron, ils purent subsister à leur besoin et les sept grandirent (sauf Paul), eurent beaucoup d’argent et d’enfants sauf Paul (encore !!! le pauvre) à cause de sa taille. Voila mon histoire est finie, tout comme à chaque fois, cela se finit bien (comme d’habitude ! pas très original).

                                                            

 

Le conte de Vincent

Le Petit Poucet

Il était une fois une famille qui était pauvre et composée de neuf personnes. Il y avait : le père, la mère et les sept enfants. Ils habitaient au centre de la ville de saint Brévin. Ils avaient chez eux une boîte interdite. Les sept enfants étaient composés de : Jules, Marc, Pierre, Rémi, Benoît et guillaume. Jules avait 16 ans, Marc en avait 14 ans, Rémi et Benoît (étaient des jumeaux) avaient 13 ans, il y avait aussi Quentin qui avait 12 ans et le petit dernier (Guillaume) qui lui en avait 8.

Un soir guillaume entendit ses parents dire  qu’ils allaient faire une balade au bord de la plage pour abandonner les sept enfants car ils n’avaient plus assez d’argent pour se nourrir.

Guillaume qui avait tout entendu eut une idée, il alla dans la chambre de ses parents, prit la boîte interdite et l’ouvrit. Il vit plusieurs petites boîtes, il regarda et prit la plus belle petite boîte et l’ouvrit, rien ne se passa. Il en prit une autre, la posa à côté de la boîte, referma la boîte et ouvrit la petite boîte: il découvrit une dame qui sortit de la petite boîte et lui demanda qui elle était. La dame répondit que c’était une fée et l’enfant étonné lui demanda si elle pourrait exaucer un de ses vœux. La fée lui répondit que oui. Guillaume lui demanda si elle pourrait l’aider à rentrer chez lui le lendemain. La fée lui donna une petite pochette avec des graines et lui dit de les semer le jour suivant. Le lendemain, ils partirent de bonne heure et Guillaume sema les graines pendant le chemin, il se rendit compte que cela faisait des plantes. Arrivés à la plage, les parents demandèrent d’aller ramasser des coquillages, les enfants partirent et quand ils revinrent, les parents n’étaient plus là. Guillaume, qui avait semé les graines, commença à les suivre. Il passa devant une cabane qui n’était pas là à leur passage pour aller à la plage. Ils toquèrent à la porte et une vieille dame ouvrit. Elle les fit entrer et ferma la porte à clefs. Guillaume se rendit compte après un bon moment que c’était une sorcière et qu’elle avait fait contourner les plantes.  

Guillaume sortit la petite boîte et fit apparaître la fée qui lança un sort et tua la sorcière.

Les enfants prirent tout l’argent de la sorcière car ils étaient pauvres, remercièrent la fée et s’enfuirent avec l’argent.

Ils rentrèrent chez eux et tombèrent dans les bras de leurs parents. Ils vécurent heureux dans leur petite maison.

                                                                                            

  

Le conte de Chloé

Grégoire et  le monstre des cavernes

Il était une fois un garçon de 7 ans qui avait 3 sœurs et 3 frères. Il était très malin et se nommait Grégoire. Ses 3 sœurs se nommaient Alex, Marion et Célia et ses 3 frères se nommaient Léon, Quentin et Antonin. Ils avaient un père et une mère qui étaient tous deux très gentils. Un soir les enfants entendirent un bruit très étrange.

Alors leur cœur se glaça, ils avaient peur, très peur. Le plus grand, le plus courageux descendit et appela ses parents. Il ouvrit la porte tout doucement. Il n’y avait plus les parents dans leur chambre. Ils paniquèrent. C’était une famille très riche mais le problème c’est qu’il ne pouvait pas appeler un garde vu qu’ils étaient tous partis, pas assez payés apparemment.

 

Ils attendirent longtemps dans cette grande maison. Ils ne pouvaient pas appeler quelqu’un. Ils n’avaient aucun numéro en tête. Ils attendirent encore 2 jours sans manger, sans boire vu qu’il n’y avait plus rien dans le réfrigérateur. Ils étaient capables de manger un loup même s’ils n’aimaient pas ça. Le tout petit, le plus malin, Grégoire eut une idée : c’est vrai ils n’avaient qu’à sortir de la maison.

Les voilà dehors. Londres était très grand. Ils ne savaient pas où aller. « Je sais, dit le plus petit, on n’a qu’à semer des pièces de monnaie. On retrouvera notre chemin après avoir regardé les alentours ». Mais le problème c’est qu’un pauvre homme passa par là et prit les pièces. Ils ne purent pas retrouver leur chemin, ils étaient perdus. Ils trouvèrent une grotte et allèrent dedans. Ils dormirent un peu mais quand ils se réveillèrent, ils virent un monstre des cavernes.

Le plus petit se leva, il avait pensé à prendre un couteau et là il avança, lui donna un coup de couteau dans la jambe, un autre dans les yeux et enfin dans le cœur. Le méchant redevint un vieil homme mort qui recracha les parents et d’autres personnes. Ils se firent tous plein de câlins et eurent une vie paisible tous ensemble. Mais il ne faut pas oublier les pièces qu’il a recrachées ni les gardes qui sont revenus travailler : tout était paisible donc, comme avant.

FIN

 

 

Le conte d’Antoine J              

Il n’y a pas si longtemps vivait une famille très pauvre qui habitait dans un logement insalubre. Les parents avaient de gros problèmes d’argent. Ils étaient méchants envers les six filles et le petit dernier qu’ils surnommaient : le nain, car il était tout petit. Les parents n’avaient pas de nourriture.

Un beau jour, le nain alla faire pipi lorsqu’ il entendit une conversation des parents qui se disputaient disant qu’il fallait abandonner leurs enfants. Le nain qui entendit cette conversation chercha un pot de peinture, l’amena dans sa chambre en réfléchissant.  

Le lendemain matin, les parents se levèrent comme d’habitude. Rien ne changea sauf que vers midi les parents dirent qu’ils allaient partir faire du shopping dans le centre-ville. Le nain n’avait jamais vu ça : toutes les filles sautèrent de joie coururent partout dans le studio, enfin voilà ! Il prit dans son sac le pot de peinture, puis ils partirent faire les boutiques. Le magasin était immense, les filles partirent de droite à gauche : en deux secondes toutes les filles avaient disparu. Et les parents partirent sans que personne ne s’en aperçoive. A la fermeture du magasin, les sept frères et sœurs se retrouvèrent sans leurs parents, mais le nain avait tout prévu : ils prirent le chemin du retour grâce aux taches blanches, ils purent rentrer chez eux

Le lendemain puisque les parents avaient échoué dans leur plan, ils décidèrent de recommencer. Le jour suivant le nain prit des pièces et ils repartirent dans un magasin de cosmétique. Seulement le nain avait  oublié de semer les pièces pour retrouver son chemin : Comment allaient-ils faire ? Comme le jour passé les parents s’en allèrent ni vus, ni connus. A la fermeture du magasin, ils se retrouvèrent sans aide sans personne. Ils marchèrent un peu partout sans vraiment aller quelque part. Tout d’un coup ils rencontrèrent un monsieur qui leur proposa de venir dormir quelques jours chez lui. Les sœurs ne se méfièrent pas et ils se retrouvèrent enfermés dans une cage avec le monsieur devant eux qui disait qu’il allait les vendre comme des esclaves. Ils restèrent plusieurs jours en captivité, sans nourriture et juste avec un peu d’eau. Dans la pièce il y avait une fenêtre qui donnait un peu de lumière dans cette cave sombre. Tout d’un coup une fée arriva devant eux. Elle fit apparaître la clé puis disparut comme elle était venue. Ils ouvrirent la porte et assommèrent le monsieur

Ils prirent tout l’argent qu’ils purent (le monsieur était extrêmement riche), prirent un taxi (famille nombreuse) et rentrèrent chez eux. Dès que leurs parents les virent avec tout cet argent, ils furent contents et n’eurent plus jamais faim.

 

FIN

   

Le conte de Lise

LE PETIT POUSSIN 

Il était une fois, dans la ville de Chacospolis, la famille Timita qui était horriblement pauvre. Les parents ne savaient que faire de leurs longues journées. La mère allait tous les jours mendier dans le métro. Leurs sept enfants étaient âgés de sept à onze ans. Le plus jeune était si petit qu'on l'appelait partout :"le petit Poussin". 

Un beau jour, alors que la famille mourait de faim, le père proposa à sa femme d'abandonner leurs enfants dans la ville pour ne plus avoir à les nourrir. La mère, choquée, désapprouva l'idée de son mari, mais elle finit par accepter (non sans regrets) sous l'avalanche d'arguments que lui donnait son mari. Heureusement, le petit Poussin, caché derrière la porte, entendit toute la conversation et décida de prévenir ses frères. Il eut l'idée de mettre une trace de peinture sur le sol lorsqu'ils sortiraient avec leur père mais de cela, il n'en parla à personne. 

 Enfin le moment arriva. Le père emmena ses fils faire les courses. En entrant au supermarché, il demanda aux enfants d'aller chercher du lait. Pendant qu'ils avaient le dos tourné, le père s'éclipsa en laissant ses enfants seuls. Le petit Poussin se rendit compte que son père avait disparu et ne paniqua pas, au contraire de ses frères. Il alla reposer le lait dans le rayon et sortit avec ses frères, un peu craintifs. Le plus vieux fut intrigué par une trace blanche continue sur le sol. Le petit Poussin remarqua que son frère observait la ligne et lui expliqua que c'était lui qui l'avait tracée. Ils la suivirent jusqu’au croisement de leur ligne avec une autre. En effet un gnome violet les avaient suivi et en avait tracé une deuxième jusqu'à sa maison. Les enfants, par mégarde, suivirent la mauvaise ligne. Arrivés au bout, ils entrèrent dans l'immense demeure du gnome. L'être maléfique les salua et leur offrit le thé. Au moment d'aller au lit, le gnome les empoigna à deux mains. 

Il faillit leur arracher la tête quand, tout à coup, les enfants crièrent en chœur une formule magique. Après cette incantation, le gnome s'évapora en fumée. En effet, le petit Poussin avait prévenu ses frères qu'il fallait la crier s'il leur arrivait malheur. Avant de sortir, le petit Poussin prit tout l'or du gnome et l'emporta chez lui.

Une fois chez eux, les parents étaient ébahis de voir leurs enfants sains et saufs, avec les poches remplies d'or. Ils eurent honte mais les enfants leur pardonnèrent.

Ils vécurent heureux et purent désormais manger à leur faim.                                      

 

 

Publié dans textes de 6ème D

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article